Archives de catégorie : Collection
Lot de 2 charges explosives 1kg W et HW Perdit Sprengpatrone
En passant
Ce lot de 2 charges explosives 1kg W et HW Perdit Sprengpatrone est constitué de reproductions 100% factices de qualité musée
ATTENTION ! Un seul lot disponible
Description:
Les Allemands disposent de « bataillons de forteresse », au début du conflit. Ils devraient, entre autres, prendre en charge les travaux de sape et minage mais ne sont pas spécialisés dans ce domaine. Il n’existe pas non plus de doctrine officielle. Le premier manuel consacré à la guerre des mines ne sera diffusé qu’en 1916.
Au début des hostilités, chaque corps d’armée dispose d’un bataillon du Génie, de trois compagnies à 250 hommes. Quand les travaux souterrains s’avèrent nécessaires, les spécialistes (mineurs, charpentiers, etc.) sont recherchés au sein des unités. Ces compagnies seront fréquemment dédoublées pour faire apparître de nouvelles unités. Ainsi, le 16e bataillon donnera naissance tout au long du conflit, à 59 unités du Génie différentes.
En 1915, les deux premières compagnies de sapeurs-mineurs sont organisées, et par l’armée bavaroise. Dès 1916, 6 autres compagnies bavaroises sont organisées, pendant que 28 autres voient le jour dans le reste de l’armée allemande. Puis en , il y a 46 compagnies de mineurs constituées.
Au début du conflit, l’explosif le plus utilisé est la poudre noire. Rapidement, seront utilisés des explosifs produits par l’industrie chimique. C’est ainsi que les Anglais utiliseront de préférence l’ammonal quant aux Français, il utiliseront plutôt la cheddite ou la mélinite. Les Allemands utiliseront entre autres, la Westfalit, Perdit Sprengpatrone, Glückhauf…Le cube de la distance en mètres du fourneau à la surface du sol, multiplié par un coefficient lié à la nature du sous-sol, donne le nombre de kilos d’explosif à utiliser).
Les explosifs allemands WW2
Les explosifs allemands WW2 ainsi que l’ensemble des charges explosives sont détaillés dans ce livre
Vous êtes sur le point de découvrir tous les explosifs allemands WW2
Quels sont les différents types d’explosifs ?
Deux types d’explosifs sont à différencier.
Les primaires
– Ils prennent facilement le régime de la détonation sous l’effet d’une faible action (Choc, fils rougis, étincelle…)
– Leur vitesse de détonation est de l’ordre de 5000 m/s ;
– Ils constituent l’élément essentiel des amorces, des détonateurs ;
– Leur rôle est de provoquer la détonation des explosifs secondaires
– Les principaux explosifs primaires sont :
– le fulminate de mercure,
– l’azoture de plomb,
– le styphnate de plomb,
– le tétrazène.
Les secondaires
– Ils sont disposés, dans toute chaîne explosive, à la suite d’un explosif primaire
– Leur vitesse de détonation varie entre 2000 et 9000 m/s
– Ils prennent le régime de la détonation sous l’action initiale de cet explosif primaire
– Les principaux explosifs secondaires sont:
– la pentrite
– la tolite, RDX… TNT,
– l’hexogène …
– les dynamites et bien d’autres énumérés dans ce livre
Les explosifs allemands WW2 se présentent sous de nombreux aspects:
Pains cartonnés de poids et de dimensions variés ou de bâtons de dynamite et parfois de charges métalliques diverses.
Ces munitions étaient, le plus souvent utilisées par des batallions spécialisés du génie allemand pour la destruction ouvrages d’art, de blindés ou pour ouvrir des breches et favoriser la progression en terrain ennemi.
Rédigé en collaboration avec les meilleurs spécialistes en explosifs de la Seconde Guerre Mondiale ce livre nous offre énormément de contenu technique tout au long de ses 239 pages.
Toutes les charges explosives, les poudres, les explosifs sont détaillés et de très nombreuses illustrations viennent agrémenter cet ouvrage.
En plus 14 min de vidéo sont disponilbes et viennent completer votre lecture
Un livre 100% rédigé en Français
Restaurer et présenter une collection
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Comment restaurer et présenter une COLLECTION
Restaurer et présenter une collection, tout un programme. Depuis longtemps, vous me demandiez comment faire pour restaurer tel ou tel objet. Comment conserver, réparer, repeindre, créer des effets de rouille, mettre vos collections en valeur… En sommes, vous vouliez connaitre mes astuces et mes secrets de métier. Alors j’ai décidé de tout vous révéler afin que vous deveniez vous-même un expert.
Lorsque l’on désire restaurer un objet trouvé dans un grenier, dans la terre ou dans l’eau, cela peut vite se transformer en une belle galère si on ne connait pas les astuces, les procédures ou les produits à utiliser.
Vous êtes un passionné de vide greniers ou de brocantes, vous êtes chercheur de trésors et vous utilisez un détecteur, alors ce livre est pour vous.
J’ai écrit un livre dans lequel j’ai mis: tous mes secrets de peintre décorateur, mes astuces et tours de main transmis de père en fils depuis plusieurs générations, toutes les combines apprises en 45 ans de restauration de militaria de collection, les bonnes adresses, les bons logiciels…
Grâce aux informations présentes dans ce guide, vous pourrez, d’ici quelques jours, mettre en place des méthodes efficaces pour restaurer et présenter superbement et durablement une collection
Pour cela, il est indispensable de découvrir les bonnes informations pour Restaurer et présenter une collection.
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Le musée de la bataille des Ardennes
Le musée de la bataille des Ardennes. La collection Jean Alexandre
Ce livre retrace l’histoire de ce musée.Vous y découvrirez l’origine bien insolite de cette collection de souvenirs militaires.
Vous ferez connaissance avec les propriétaires respectifs au fil des années.
Puis enfin, vous apprendrez ce qu’elle est devenue aujourd’hui ainsi que le détails des restaurations hasardeuses qui l’ont bien malmené.
Le musée de la bataille des Ardennes….
Nous devrions plutôt dire les différentes batailles des Ardennes car cette région de France a été le théâtre de bien des invasions à travers l’histoire.
Mais comment une collection de militaria a t-elle rapporté une fortune à son propriétaire ?
Ce livre parle aussi de l’évolution de la présentation des collections de souvenirs et de véhicules militaires dans les musées Européens !
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Bastogne , vous connaissez ?
La gueule de Goebbels
La gueule de Goebbels, la fameuse radio du peuple allemand
La gueule de Goebbels est le surnom d’un poste de radio ou plutôt à une TSF fabriquée par plusieurs firmes différentes dont Schnaub.
Le DKE 1938, « Deutscher Kleinempfänger » est d’un aspect et d’un fonctionnement assez simple.Sa carcasse est réalisée en bakélite ( premier plastique fait de polymères synthétiques breveté en 1909). De couleur marron tacheté, sa façade ainsi qu’un certain nombre de pièces internes arborent le Reichsalder, l’aigle symbole du Reich
Le spadassin d’Hitler: Joseph Goebbels soutient à de nombreuses reprises que l’éducation d’un peuple se fait par une formation massive qui sera pensée pour des millions de cerveaux simultanément. Pour parvenir à cette fin, il lance dès son arrivée au ministère de la propagande, la construction et la diffusion massive de son fameux poste de TSF Volksempfänger ( la radio du peuple). Auparavant, il fallait réunir les masses dans les débits de bière ou sous les chapiteaux de cirques ou encore sur des places publiques pour les endoctriner. Grâce à ce récepteur, la voix des dirigeants parvient dans chaque foyer allemand.
Il s’agit bien là d’une pièce de choix pour un collectionneur de militaria ou de TSF assez difficile à dénicher de nos jours malgré sa production massive à l’époque.
Radio-Paris ment, Radio-Paris ment, Radio-Paris est allemand…
En juillet 1940 les services de propagande allemands en prennent le contrôle de la station Radio-Paris et la dotent de moyens financiers importants. Ses studios se trouvent au 116-118, avenue des Champs-Élysées, son annexe, l’Information permanente, est au 114. Durant l’occupation vont se succéder devant les micros de Radio-Paris des chanteurs populaires comme Tino Rossi ou Maurice Chevalier, et le réputé Grand Orchestre de la station donne de nombreux concerts.
De l’autre côté de la Manche, l’humoriste Pierre Dac, speaker de l’émission Les Français parlent aux Français à Radio-Londres, brocarde la station et popularise le slogan de Jean Oberlé : Radio-Paris ment, Radio-Paris, ment… Radio-Paris est allemand (sur l’air de la Cucaracha). Ecoutez-le ici
Appelez-moi Maître !
Un pistolet signé de mon ancêtre….
Il semblerait que chacun d’entre nous ait au moins plusieurs ancêtres remontants
à Charlemagne. C’est assez désopilant n’est-ce pas? Concevoir que notre voisin pourrait être de notre famille (éloignée bien sûr). Alors que penser des gens qui portent le même nom que vous ??
Aujourd’hui, la population humaine dépasse les 6,5 milliards d’individus, alors qu’elle
n’était que de 50 millions d’individus il y a 3 000 ans.D’après l’ étude de chercheurs américains publiée en 2004, toutes les personnes vivantes actuellement ont un ancêtre commun, qui vécut il y a 2 000 à 5 000 ans. De plus, si on remonte quelques milliers d’années plus tôt (probablement entre 5 000 et 15 000 ans avant notre ère), tous les êtres humains qui ont eu une descendance sont nos ancêtres. ( voir le tableau)
Imaginez la surprise de mon cousin Philippe Tisseron qui avait pris ce magnifique pistolet de cavalerie modèle an IX de la manufacture nationale de Charleville en main,lorsqu’on lui dit que le » T « sous couronne poinçonné sur la garniture laiton correspondait au nom de Tisseron….
Ce pistolet de cavalerie fut fabriqué sur la demande expresse de Napoléon 1er sous le Consulat afin de remplacer l’ancien pistolet modèle 1777. Les premiers exemplaires d’AN IX ont vu le jour en 1801 et ont été fabriqués jusqu’en 1808 à environ 8 0000 exemplaires dans plusieurs manufactures : Versailles,St Etienne,Maubeuge,Tulle,et notamment celle de Charleville (08).
Passionné par l’histoire et plus particulièrement par celle de notre famille ardennaise, Philippe, fait aussitôt des recherches sur le Web d’abord sur la manufacture d’armes de Charleville puis sur cette personne nommée Tisseron. Car ce qui est curieux, c’est non seulement d’avoir le même nom de famille mais en plus la même passion pour les armes anciennes .
Ses investigations lui permettent rapidement de se rendre compte de l’importance la manufacture d’armes de Charleville.
En effet,cette fabrique créée en 1667 a réalisé jusqu’à sa fermeture en 1836, 72 modèles de fusils et 24 modèles de pistolets. Très prisées des collectionneurs, ces armes ornent les vitrines des plus grands musées à travers le monde et en particulier aux Etats-Unis.
Réputée par sa qualité de fabrication,la manufacture recevra des visiteurs prestigieux comme le Tsar de toutes les Russies Alexandre le Grand en 1717, s’offrant au passage une croisière sur la Meuse jusqu’à Liège.
En 1775 éclate la guerre d’indépendance des Etats-Unis. Les insurgés ont besoin d’armes. Un corps expéditionnaire avec à sa tête un certain La Fayette, est envoyé par Louis XVI en Amérique. Equipés du tout nouveau fusil 1777 à silex ,les soldats Français qui seront jusqu’à 34 000 à donner la main aux Américains font merveille; Le fusil, lui, est fabriqué à Charleville.
En 1792, Louis XVI est en prison. La guerre menace,les Autrichiens et les Prussiens sont aux portes de la France. Le 4 Septembre à Charleville, un convoi d’armes sort de la manufacture mais au lieu de prendre la direction de Paris, il se dirige vers la frontière! Aussitôt un attroupement de révolutionnaires bloque le chargement de 1 500 fusils. L’inspecteur Lieutenant-colonel Juchereau, aristocrate fidèle au Roi est emmené à la mairie, il en sort la tête au bout de la baïonnette d’un fusil et son corps est jeté à la Meuse.
Napoléon 1er fournira ses armées en armes de la manufacture qui en produira jusqu’à 50000 en 1812 grâce à ses quatre sites et a ses sous-traitants locaux comme ceux de Warcq, commune voisine.
En 1836, sous la restauration,la situation de cette manufacture, jugée trop proche des frontières entraînera sa fermeture. La manufacture d’armes de St Etienne, seule rivale de l’Ardennaise va en profiter.
Les quatre sites de production sont vendus à un maître de Forges Ardennais, un certain Nicolas Gendarme.
Philippe fait une autre découverte intéressante : un document démontrant que le dénommé TISSERON,né le 18 février 1787 à Longuyon en Meurthe et moselle a
bien été Maître-ouvrier, contrôleur après une de trentaine d’années de service à la manufacture d’armes de Charleville .
Cet homme avait donc bien apposé son poinçon sur cette armes.
Il s’agit très probablement d’un ancêtre de ma famille à moins qu’il ne s’agisse de la votre???
Vous pouvez visualiser le bulletin complet des lois (Louis-Philippe 1835) >> ICI
Bombardier Horten Ho 229
L’avion furtif de la Luftwaffe
En 1943,les bombardiers qui arrosaient copieusement le Royaume unis étaient des proies faciles pour la chasse Britannique.
Un appel d’offre fut déposé par Hermann Göring pour la réalisation d’un bombardier capable de transporter une tonne de bombes dans un rayon d’action de 1000 km avec une vitesse proche de Mach 1
Les frères Horten relevèrent le défit et proposèrent un projet qu’ils avaient élaboré et gardé secret.Cette étude sera finalement validée avec quelques adaptations, par exemple l’ajout de deux canons doubles de 30 mm.
Ce projet présentait un avion extrêmement futuriste dont une des particularités majeures était qu’il était presque indétectable par sa forme et les matériaux employés pour sa fabrication en général et de son nez en particulier .
Bien entendu les Américains avaient mis main basse sur ce prototype à la fin de la guerre afin de contribuer à la conception de leur propre bombardier furtif .
Pourtant,il faudra attendre 56 ans pour voir des bombardiers furtifs d’aspect similaire Américains de type B2 Spirit au combat lors de la guerre au Kosovo.