Minage et le déminage allemands WW2,un livre téléchargeable au format Pdf
Vous êtes sur le point de découvrir tous les véhicules de minage et déminage allemands WW2 ainsi que l’ensemble des moyens de détection les plus insolites
Les prisonniers de guerre ou des volontaires sont largement utilisés pour le désobusage (puis le déminage). Ce fut le cas par exemple des prisonniers allemands lors de la reconstruction après les deux Guerres mondiales. Nombre d’entre eux ont été tués ou grièvement blessés . Seuls certains d’entre eux, plus chanceux, purent enfin rentrer dans leur pays.
Les moyens de détection et de protection augmentent mais le nombre et la variété des engins explosifs ne cesse d’augmenter, ce qui force les démineurs à une formation continue et une formation de base approfondie.
L’objectif du déminage est généralement de permettre la poursuite d’actions militaires en périodes de conflit. Le plus souvent, il s’agit de permettre le nettoyage rapide de zones d’accès ou de couloirs de circulation.
Par ailleurs, selon les objectifs, le déminage peut se restreindre à la seule neutralisation de mines antichars, en excluant donc le nettoyage de mines antipersonnel, avec un taux d’acceptation de risque résiduel plus important que dans le cadre d’un déminage humanitaire.
Si vous vous interessez aux Pionniers allemands de la seconde guerre mondiale, ce livre est fait pour vous !
Quelque soit le véhicule ou le matériel de détection recherché, vous le trouverez dans ce livre très complet et interactif
Tous les systèmes spécifiques et dedétection.
Tous les risques liés aux munitions de guerre De très nombreuses illustrations 183 pages de contenu technique Plus de 1h23 de vidéo
Les explosifs allemands WW2 ainsi que l’ensemble des charges explosives sont détaillés dans ce livre
Vous êtes sur le point de découvrir tous les explosifs allemands WW2
Quels sont les différents types d’explosifs ?
Deux types d’explosifs sont à différencier.
Les primaires
– Ils prennent facilement le régime de la détonation sous l’effet d’une faible action (Choc, fils rougis, étincelle…) – Leur vitesse de détonation est de l’ordre de 5000 m/s ; – Ils constituent l’élément essentiel des amorces, des détonateurs ; – Leur rôle est de provoquer la détonation des explosifs secondaires – Les principaux explosifs primaires sont :
– le fulminate de mercure,
– l’azoture de plomb,
– le styphnate de plomb,
– le tétrazène.
Les secondaires
– Ils sont disposés, dans toute chaîne explosive, à la suite d’un explosif primaire – Leur vitesse de détonation varie entre 2000 et 9000 m/s – Ils prennent le régime de la détonation sous l’action initiale de cet explosif primaire – Les principaux explosifs secondaires sont:
– la pentrite
– la tolite, RDX… TNT,
– l’hexogène …
– les dynamites et bien d’autres énumérés dans ce livre
Les explosifs allemands WW2 se présentent sous de nombreux aspects:
Pains cartonnés de poids et de dimensions variés ou de bâtons de dynamite et parfois de charges métalliques diverses. Ces munitions étaient, le plus souvent utilisées par des batallions spécialisés du génie allemand pour la destruction ouvrages d’art, de blindés ou pour ouvrir des breches et favoriser la progression en terrain ennemi.
Rédigé en collaboration avec les meilleurs spécialistes en explosifs de la Seconde Guerre Mondiale ce livre nous offre énormément de contenu technique tout au long de ses 239 pages. Toutes les charges explosives, les poudres, les explosifs sont détaillés et de très nombreuses illustrations viennent agrémenter cet ouvrage. En plus 14 min de vidéo sont disponilbes et viennent completer votre lecture
Les mines antipersonnel allemandes de la seconde guerre mondiale
Ce livre nous décrit dans les moindres détails, toutes les mines antipersonnel allemandes de la seconde guerre mondiale. Il est entièrement rédigé en Français en collaboration avec les plus grands spécialistes en munitions de la seconde guerre mondiale. Cet ouvrage nous offre un contenu technique appuyé par de très nombreuses photos et plus de 30 minutes de vidéo.
La mine terrestre a été développée avant le XXe siècle mais n’a réellement commencé à être utilisée systématiquement par les forces et les groupes armés qu’à partir de la seconde guerre mondiale. Largement présentes sur le territoire Français mais aussi dans beaucoup d’autres pays, les mines constituent une menace permanente pour la population civile longtemps après la fin des hostilités. Bombes, obus piégés, mines et autres munitions qui ont été utilisées n’ont pas toujours explosé et continuent de faire des ravages. Les mines antipersonnel et les allumeurs divers sont souvent munis de systèmes de fonctionnement assez complexes. Ils méritent vraiment une description précise et très poussée.
A fin de mener à bien la rédaction de ce livre et de faire de cet ouvrage un outil précieux, j’ai mis à contribution des spécialistes du déminage Français de la protection civile ainsi que plusieurs spécialistes du déminage Russes. J’ai également fait appel à des spécialiste en caisses de rangements de munitions et à des collectionneurs spécialisés dans ce domaine qui m’ont apporté leur soutien iconographique. ce soutien précieux m’a permis d’agrémenter ce livre de photos souvent rares et parfois exceptionnelles.
Ce livre est d’ores et déjà considéré comme une référence dans certains centres de déminage.
Sans doute le livre Français le plus complet sur les mines antipersonnel, réalisé à ce jour
Voici le détail de ce livre:
246 pages de contenu technique
55 mines et allumeurs détaillés Plus de 200 photos Plus d’une 30 min de vidéo
Un livre technique de référence 100% en Français.
Si vous désirez obtenir les informations techniques sur les mines antichar allemandes, cliquez ici
Les mines antichar allemandes de la seconde guerre mondiale
Ce livre nous décrit dans le moindre détail, toutes les mines antichar allemandes de la seconde guerre mondiale. Il est entièrement rédigé en Français en collaboration avec les plus grands spécialistes en munitions de la seconde guerre mondiale. Cet ouvrage nous offre un contenu technique appuyé par de très nombreuses photos et plus d’une heure de vidéo.
La mine terrestre a été développée avant le XXe siècle. Cependant, elle n’a réellement commencé à être utilisée qu’à partir de la seconde guerre mondiale. Largement présentes sur le territoire Français mais aussi dans beaucoup d’autres pays, les mines constituent une menace permanente pour la population civile longtemps après la fin des hostilités. Bombes, obus piégés, mines et autres munitions qui ont été utilisées n’ont pas toujours explosé et continuent de faire des ravages.
Les mines antichar et les allumeurs divers sont souvent munis de systèmes de fonctionnement assez complexes. Ils méritent vraiment une description précise et très poussée.
A fin de mener à bien la rédaction de ce livre et de faire de cet ouvrage un outil précieux, j’ai mis à contribution des spécialistes du déminage Français de la protection civile ou militaires ainsi que plusieurs spécialistes du déminage Russes. J’ai également fait appel à des spécialistes en caisses de rangements de munitions et à des collectionneurs spécialisés dans ce domaine qui m’ont apporté leur soutien iconographique. Ce soutien précieux m’a permis d’agrémenter ce livre de photos souvent rares et parfois exceptionnelles.
Ce livre est d’ores et déjà considéré comme une référence dans auprès d’un bon nombre de démineurs professionnels
Sans doute le livre le plus complet réalisé à ce jour sur ce sujet
245 pages de contenu technique
55 mines et allumeurs détaillés
plus de 260 illustrations
plus d’une heure de vidéo
Cliquez pour accèder à la page de présentation complète
Restaurer et présenter une collection, tout un programme. Depuis longtemps, vous me demandiez comment faire pour restaurer tel ou tel objet. Comment conserver, réparer, repeindre, créer des effets de rouille, mettre vos collections en valeur… En sommes, vous vouliez connaitre mes astuces et mes secrets de métier. Alors j’ai décidé de tout vous révéler afin que vous deveniez vous-même un expert.
Lorsque l’on désire restaurer un objet trouvé dans un grenier, dans la terre ou dans l’eau, cela peut vite se transformer en une belle galère si on ne connait pas les astuces, les procédures ou les produits à utiliser.
Vous êtes un passionné de vide greniers ou de brocantes, vous êtes chercheur de trésors et vous utilisez un détecteur, alors ce livre est pour vous.
J’ai écrit un livre dans lequel j’ai mis: tous mes secrets de peintre décorateur, mes astuces et tours de main transmis de père en fils depuis plusieurs générations, toutes les combines apprises en 45 ans de restauration de militaria de collection, les bonnes adresses, les bons logiciels…
Grâce aux informations présentes dans ce guide, vous pourrez, d’ici quelques jours, mettre en place des méthodes efficaces pour restaurer et présenter superbement et durablement une collection
Pour cela, il est indispensable de découvrir les bonnes informations pour Restaurer et présenter une collection. C’est justement ce que je vous invite à faire maintenant.
OK, je veux recevoir ce livre dans les minutes qui suivent
Je clique sur le bouton maintenant
Le musée de la bataille des Ardennes. La collection Jean Alexandre
Ce livre retrace l’histoire de ce musée.Vous y découvrirez l’origine bien insolite de cette collection de souvenirs militaires.
Vous ferez connaissance avec les propriétaires respectifs au fil des années.
Puis enfin, vous apprendrez ce qu’elle est devenue aujourd’hui ainsi que le détails des restaurations hasardeuses qui l’ont bien malmené.
Le musée de la bataille des Ardennes….
Nous devrions plutôt dire les différentes batailles des Ardennes car cette région de France a été le théâtre de bien des invasions à travers l’histoire.
Mais comment une collection de militaria a t-elle rapporté une fortune à son propriétaire ?
Ce livre parle aussi de l’évolution de la présentation des collections de souvenirs et de véhicules militaires dans les musées Européens !
Cliquez ci-dessous afin de recevoir cet ouvrage GRATUITEMENT
Les bombardements de Sedan en mai 1940, l’invasion allemande commence
Je vais essayer de vous décrire le calvaire enduré par les soldats français pendant les bombardements de Sedan en mai 1940 et ceci pendant plus de 6 heures
Fort de Villy la Ferté
Ah, les Ardennes, avec leurs forêts et leurs vallées encaissées constituaient un théâtre d’opérations où il était préférable de ne pas s’aventurer, ce qui explique la pauvreté des fortifications le long de la frontière franco-belge dans ce département : le fort de Villy la Ferté. Le dernier ouvrage de la ligne Maginot est le plus petit et le plus vulnérable d’entre tous. En effet, les Ardennes ont la chance de posséder un obstacle naturel antichar efficace et parallèle à la frontière : la Meuse, de Givet à Bazeilles et la Chiers jusqu’à Margut. Dans le nord du département, le fleuve s’est taillé dans le vieux massif un cours sinueux, large de 70 mètres, encaissé, dominé par des aplombs de 200 mètres. La vallée est étroite avec quelques agglomérations. Cela explique pourquoi le Haut Commandement Français n’a pas considéré prioritaire la mise en défense de ce secteur.
Ma grande mère avec ses trois fils pendant l’exode
Dès le 10 mai, l’évacuation a été ordonnée aux habitants de Monthermé, Givet et Fumay. Le 12 mai, ce sont les habitants de Sedan,Charleville, de Mézières, de Flize et de Mohon qui sont appelés à quitter leurs habitations. Mon grand-père Achille, vétéran de la grande guerre, se présenta spontanément aux pste frontière et il reçut l’ordre de fuir car les allemands n’étaient plus qu’à quelques kilomètres. La Préfecture des Ardennes est transférée à St Hermine, en Vendée, région de repli pour les Ardennais avec les deux-sèvres.. Durant cette période les quais de la gare de Charleville sont envahis d’évacués qui se bousculent, encombrés de leurs pauvres bagages. Ceux qui resteront connaîtront l’enfer.
La percée de Sedan
Guderian
Le 11 mai au soir, les avant-gardes de Guderian sont devant Bouillon, sur la Semoy où la bataille fait rage. Le Génie français fait sauter les ponts de la Semoy mais en oublie deux dans leur hâte : l’ennemi en profite et franchi la rivière. L’objectif allemand ne fait aucun doute : Sedan. Dans la nuit du 11 au 12 mai les Français abandonnent la défense de la Semoy. L’aviation allemande (environ 300 appareils) bombarde en même temps qu’avancent les blindés.
Peur sur la ville
Ce matin du 13 mai, le jour se leva au-dessus de Sedan, en même temps que tombent les premières bombes. C’était le début d’un bombardement méthodique qui va durer de nombreuses heures. Les avions, par vagues de quarante à cinquante piquent à tour de rôle pour lâcher leurs bombes. Ce pilonnage, exécuté par tranches de terrain, sera renouvelé à de nombreuses reprises sur les berges de la Meuse, les ouvrages de la ligne de résistance, les points d’appui, les observatoires et les emplacements de batteries. L’effet en est terrifiant. Les bombes sont de tous calibres. Les petites sont lâchées par paquet. Les grosses ne sifflent pas ; en tombant, elles imitent à s’y méprendre le grondement d’un train qui s’approche.
Stukas en piqué sur Sedan
Canots gonflables
Stukas en piqué, les bombardements de Sedan en mai 1940 commencent
Les Stukas se joignent aux bombardiers lourds pour effectuer les bombardements de Sedan en mai 1940. Le bruit de sirène de l’avion qui pique vrille l’oreille et met les nerfs à nu. Il vous prend envie de hurler. Le fracas des explosions maintenant domine tout. Plus une autre sensation n’existe. On se sent personnellement visé ; on attend, les muscles raidis ; l’éclatement est une délivrance. Mais un autre, deux autres, dix autres. Les sifflements s’entrecroisent en un lacis sans déchirure ; les explosions se fondent en un bruit de tonnerre continu.Lorsqu’un instant son intensité diminue, on entend les respirations haletantes. Nous sommes là, immobiles, silencieux, le dos courbé, tassés sur nous-mêmes, la bouche ouverte pour ne pas avoir les tympans crevés.
Vers 16 h 00, la Meuse est franchie à Gaulier et à Sedan, en face de l’usine textile de l’Espérance, au Pont-Neuf et à Wadelincourt. Sur des radeaux pneumatiques, accostent sur la rive adverse des fantassins qui montent à l’assaut en franchissant dans un élan rapide les barrages avancés avant d’encercler les premières casemates. La résistance française est intense, de nombreux ouvrages se défendant désespérément. Les français, en majorité des combattants d’origine ardennaise (qui viennent de passer les 8 mois de la drôle de guerre à creuser des tranchées, à couler le béton des casemates, à dérouler les barbelés ou à construire les ouvrages d’art) se défendent pied à pied. Ils manquent cruellement de matériel et celui-ci est parfois obsolète. De plus, le soutien de l’aviation et des blindés alliés est insuffisant et les moyens de communication sont archaïques.
Casemates et maisons fortes
Cassemate entre Sedan et Flize
Les 22 casemates et abris de la région Sedanaise, malgré leur acharnement à freiner des centaines de chars allemands, sont pris les uns après les autres. C’est le Général de Barbeyrac de St Maurice, commandant de la 2ème Région à Amiens, qui prend en charge le « barrage de la Meuse », depuis Givet jusqu’à Mairy, par Mézières et Sedan, puis l’organisation de la Chiers. Il conçoit la fortification de campagne sous la forme de petits blocs de béton peu solides mais bien camouflés, flanqués de fossés antichars et de réseaux de barbelés, destinés à recevoir une ou deux armes. Le but est de rendre infranchissable le fleuve. Les chantiers sont conduits en 1935 et 1936. Fin 1938, une vingtaine de maisons fortes sont construites dans les bois situés entre la Meuse et la frontière, en plus de six positions de batterie d’artillerie lourde. Début 40, d’autres travaux seront entamés afin de renforcer ces positions.
Il y en a 15, faisant front au nord de Sedan et Carignan. Elles subiront le choc de 3 divisions blindées de 300 chars les 12 et 13 Mai 1940. Edifiées selon un plan type, collées à la frontière, occupées par de légers détachements d’infanterie qui veillent, elles servent de « sonnettes d’alarme » en informant l’arrière d’une éventuelle violation du territoire national. Julien Gracq dans son livre « Le Balcon en Forêt » en a bien décrit l’atmosphère (adaptation cinématographique de M. Mitrani).
maison forte de Messincourt
Elles furent toutes construites en 1938. Elles reposent sur la stratégie du leurre. L’ennemi doit croire à une maison d’habitation. Le rez-de-chaussée qui ressemble à un soubassement est en fait une salle de combat, protégée par des murs en béton armé de 0,50 à 1 mètre d’épaisseur, avec ouvertures de tir. Le premier étage est composé d’un petit appartement servant à loger 6 combattants.
On y trouve une chambre de 5m x 3m, un réfectoire de 3,60m x 2,50m, une cuisine de 2,35m x 1,65m, des WC et un vestibule d’entrée. En cas d’alerte, les soldats ferment les volets de fer, les portes blindées et descendent dans la salle de combat par le biais d’une trappe située dans la chambre. En cas de péril imminent, un étroit tunnel donne la possibilité aux défenseurs d’évacuer. Des mines, des chicanes, des barbelés, des fossés antichars et des tranchées protègent les alentours immédiats de la maison. Les maisons fortes sont désertées, sauf deux : St Menges et Hatrelle. C’est justement devant la maison forte de St Menges que tomberont les premiers morts français de la bataille de France. Les troupes françaises ayant résisté jusqu’à leur dernière cartouche sont très vite submergées par la supériorité numérique et technologique de l’ennemi.
Peu après la percée de Sedan, la ville de Flize est prise. La panique s’empare des troupes arrière qui se replient et encombrent les routes, ralentissant énormément la contre-offensive qui sera pourtant lancée le 14 mai à 5 h 00 du matin sur Connage et Bulson avec un seul régiment et un seul bataillon de chars. Après 4 heures de combats, d’une rare violence, les Allemands s’emparent des passages sur la Bar. En moins de 48 heures, l’artillerie française dans le secteur de Sedan sera totalement écrasée et la route de l’Ouest ouverte. Le 15 mai 1940, 610 spahis sur les 1000 de la 3e brigade tombent à la Horgne et à Poix-Terron pendant que la Luftwaffe mitraille les populations civiles sur la route de l’exode. Épouvantable cauchemar !
Finalement, la cité de Turenne tombe aux mains de l’armée du Reich. La bataille de France débute donc par la percée de Sedan qui se terminera le 22 juin 1940 par la capitulation des armées françaises.
A partir du 3 Septembre 1940, commence la construction d’un sous-marin aux chantiers navals Deutsche Werke AG, Kiel Gaaden. Cet U-boot immatriculé 455 sera mis à l’eau le 21 Juin 1941. Le Kapitänleutnant Hans-Henrich Giessler en recevra le commandement avec 51 hommes d’équipage. Ce submersible débute sa carrière comme bateau école au sein de la 5 ème flottille puis à partir de… Continuer la lecture →
La gueule de Goebbels, la fameuse radio du peuple allemand
La gueule de Goebbels est le surnom d’un poste de radio ou plutôt à une TSF fabriquée par plusieurs firmes différentes dont Schnaub.
Le DKE 1938, « Deutscher Kleinempfänger » est d’un aspect et d’un fonctionnement assez simple.Sa carcasse est réalisée en bakélite ( premier plastique fait de polymères synthétiques breveté en 1909). De couleur marron tacheté, sa façade ainsi qu’un certain nombre de pièces internes arborent le Reichsalder, l’aigle symbole du Reich
Le spadassin d’Hitler: Joseph Goebbels soutient à de nombreuses reprises que l’éducation d’un peuple se fait par une formation massive qui sera pensée pour des millions de cerveaux simultanément. Pour parvenir à cette fin, il lance dès son arrivée au ministère de la propagande, la construction et la diffusion massive de son fameux poste deTSF Volksempfänger ( la radio du peuple). Auparavant, il fallait réunir les masses dans les débits de bière ou sous les chapiteaux de cirques ou encore sur des places publiques pour les endoctriner. Grâce à ce récepteur, la voix des dirigeants parvient dans chaque foyer allemand.
Il s’agit bien là d’une pièce de choix pour un collectionneur de militaria ou de TSF assez difficile à dénicher de nos jours malgré sa production massive à l’époque.
Radio-Paris ment, Radio-Paris ment, Radio-Paris est allemand…
En juillet 1940 les services de propagande allemands en prennent le contrôle de la station Radio-Paris et la dotent de moyens financiers importants. Ses studios se trouvent au 116-118, avenue des Champs-Élysées, son annexe, l’Information permanente, est au 114. Durant l’occupation vont se succéder devant les micros de Radio-Paris des chanteurs populaires comme Tino Rossi ou Maurice Chevalier, et le réputé Grand Orchestre de la station donne de nombreux concerts.
De l’autre côté de la Manche, l’humoriste Pierre Dac, speaker de l’émission Les Français parlent aux Français à Radio-Londres, brocarde la station et popularise le slogan de Jean Oberlé : Radio-Paris ment, Radio-Paris, ment… Radio-Paris est allemand (sur l’air de la Cucaracha). Ecoutez-le ici
Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site. Si vous continuez à utiliser ce dernier, nous considérerons que vous acceptez l'utilisation des cookies.OkNonplus d'infos